<p>Invité de <em>Newsroom</em>, Bertrand Belin revient sur la manière dont <em>Watt</em> s’est construit, presque en retrait, avec l’envie de laisser plus d’espace aux mots et au silence. Il explique comment ce disque l’a amené à revoir sa façon de composer, en privilégiant la souplesse et l’épure. L’entretien glisse aussi vers la scène, où il cherche toujours à garder de l’air et de l’imprévu. Et, comme souvent, la Bretagne n’est jamais bien loin dans ce qu’il raconte, qu’il s’agisse d’un souvenir ou d’une façon d’être au monde.</p>