Le dicton nous enseigne qu’on ne peut pas cacher le soleil avec la main…  

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On ne peut donc pas cacher que ces mois d’endurance de la pandémie de Covid 19 nous pèsent dessus violemment. Tout de même, on est obligé de constater que ce petit imprudent de virus nous a quand même fait voir en gros plan, à quel point l’action de l’homme avait abîmé la terre… Les femmes et les hommes qui partout au monde s’en préoccupe démontrent qu’on peut jouir de la production de la terre, sans l’abîmer. C’est bien de cette terre nourricière dont nous parlerons aujourd’hui.

Avec comme invités

• Abdoul Razack Belemgnegre, directeur du Centre de formation en agroécologie de Beoneere de Ouagadougou, dans le village de Roumtenga au Burkina Faso
• L’humoriste ivoirien Boukary 
• Une initiative de Nicole Bahati, co-présidente du Club RFI Bukavu (RDC) pour le lancement d’un projet d’autonomisation économique des femmes dans le Sud-Kivu à travers la création des coopératives écologiques basées sur le crédit rotatif.
• Musique avec JT Abefo Rapou de Hamendji

Et à retrouver chaque semaine:

> Le tour du Web avec le collectif WenakLabs, le premier tech hub de N'Djaména, dans la voix de Pamela Bahdje (du Tchad)

> Notre conteur Binda Ngazolo (du Cameroun)

> La chronique en partenariat avec “Le Monde Afrique”

Au Burkina Faso, l’association “La Voûte nubienne” ressuscite une technique de construction ancestrale et écologique

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