Dans un immeuble gris, quatre solitudes occupent un espace-rêve. Le temps, parfois décalé, y avance sans avancer.Écrite comme un songe fragmenté, Et si un soir s’inspire de l’obscurité qui rend possible l’exploration d’une intimité qu’on ose rarement avouer à haute voix.Crédits : Et si un soir, de Lisa L’Heureux Publiée aux éditions Prise de paroleDistribution : Marc-André Charette, Lissa Léger, Manon St-Jules, Caroline Yergeau Conception sonore : Pierre-Luc Clément Saxophone : Linsey Wellman Réalisation : Transistor MédiaUne production de Lisa L’Heureux en partenariat avec Transistor Média, Prise de Parole et Théâtre Rouge ÉcarlateRemerciements : Créé grâce au soutien du Conseil des arts du Canada et Ontario Créatif, par le biais du Prix littéraire Trillium 2019

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 &lt;p&gt;Dans un immeuble gris, quatre solitudes occupent un espace-rêve. Le temps, parfois décalé, y avance sans avancer.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Écrite comme un songe fragmenté, &lt;em&gt;Et si un soir&lt;/em&gt; s’inspire de l’obscurité qui rend possible l’exploration d’une intimité qu’on ose rarement avouer à haute voix.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;strong&gt;Crédits :&lt;/strong&gt;&lt;br&gt;&lt;em&gt;Et si un soir&lt;/em&gt;, de Lisa L’Heureux&lt;br&gt;Publiée aux éditions Prise de parole&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;strong&gt;Distribution :&lt;/strong&gt; Marc-André Charette, Lissa Léger, Manon St-Jules, Caroline Yergeau&lt;br&gt;&lt;strong&gt;Conception sonore :&lt;/strong&gt; Pierre-Luc Clément&lt;br&gt;&lt;strong&gt;Saxophone :&lt;/strong&gt; Linsey Wellman&lt;br&gt;&lt;strong&gt;Réalisation :&lt;/strong&gt; Transistor Média&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Une production de Lisa L’Heureux en partenariat avec Transistor Média, Prise de Parole et Théâtre Rouge Écarlate&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;strong&gt;Remerciements :&lt;/strong&gt;&lt;br&gt;Créé grâce au soutien du Conseil des arts du Canada et Ontario Créatif, par le biais du Prix littéraire Trillium 2019&lt;/p&gt;
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Dans un immeuble gris, quatre solitudes occupent un espace-rêve. Le temps, parfois décalé, y avance sans avancer.

Écrite comme un songe fragmenté, Et si un soir s’inspire de l’obscurité qui rend possible l’exploration d’une intimité qu’on ose rarement 

Dans un immeuble gris, quatre solitudes occupent un espace-rêve. Le temps, parfois décalé, y avance sans avancer.

Écrite comme un songe fragmenté, Et si un soir s’inspire de l’obscurité qui rend possible l’exploration d’une intimité qu’on ose rarement avouer à haute voix.

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