Engle
Amelle reçoit celui qui fait sauter les verrous. La légende vivante. Papy.
Le rôle crucial de la considération et l’importance de la singularité. Avoir beau être une légende vivante, se sentir avant tout un accompagnateur artistique chanceux de vivre des aventures humaines. Les rencontres qui marquent, le métier de metteur en scène, l’improvisation théâtrale mais aussi littéraire. L’importance de tester parce que le vrai metteur en scène c’est le public. Être un enthousiaste qui communique son enthousiasme à des gens qui doutent. Une future Papynière à Trappes ou encore le jumelage de la ville de Trappes avec la Comédie Française. L’amour des clowns et des burlesques américains parce que le comique de situation c’est fabuleux. L’importance de maitriser sa respiration au bon endroit et d’être dans le présent avec l’autre, dans l’accident possible. Cette chance de faire du spectacle vivant. La charge mentale qu’un spectacle représente pour un artiste qui comme un pilote de formule 1 n’a pas le droit à l’erreur. Le profond respect pour les personnes qui se mettent à nue pendant plus d’une heure. Ce surnom adoré d’un enfant abandonné chez Tata Tonton, et qui est devenu au fil des ans le papy de tout le monde. Les dingueries du passé et celle du future. On parle de Jamel Debbouze, Blanche Gardin, Bun Hay Mean, Wahid Bouzidi, Sophia Aram, Arnaud Tsamère, Alban Ivanov, Issa Doumbia, Mounia Aram, Jacques Massadian, Chloé Oliveres, Monsieur Fraize, Buster Keaton, Éric Ruf, Molière, Les frères Tamouille, Sanseverino, Frédéric Jeandupeux, Déclic Théâtre, le Trophée Culture et Diversité, la séquence du spectateur, Mustapha El Atrassi ou encore Coluche. Et puis on voyage, à fête de l’Huma, au Movie’s, au Field … et forcément à Trappes.