Il y a quelques années le monde du numérique bruissait d'un terme anglo-saxon qui faisait saliver fournisseurs, société de services informatique et responsables de collectivités territoriales. Ce terme, c'était celui de <a href="https://www.zdnet.fr/smart-city-4000237520q.htm">smart city</a>. La promesse de ces villes intelligentes étaient multiples, allant d'une meilleure sécurité urbaine à une meilleure efficacité de la dépense publique. Séduite, <a href="https://www.zdnet.fr/actualites/smart-city-google-prend-ses-quartiers-a-toronto-39859016.htm">la ville de Toronto a confié en 2019 les clés du camion à Google</a>. De quoi refroidir le secteur <a href="https://www.zdnet.fr/blogs/green-si/le-projet-smartcity-de-google-a-toronto-repart-39893169.htm">un an plus tard</a>. Pourquoi ? Parce que Google avait fait main basse sur les données de la ville. Depuis, les promoteurs de la smart city se font plus discrets. Sauf <a href="">Jacques Priol</a>. Cet expert de la donnée publique conseille les collectivités territoriales sur <a href="https://www.zdnet.fr/actualites/ne-parlez-plus-de-smart-city-voici-le-territoire-connecte-et-durable-39961866.htm">leurs projets de territoires connectés</a>. Des projets que l'on croise en France dans des villes comme Dijon ou Angers. Nous l'avons rencontré. <a href="https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre">Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !</a> Hébergé par Ausha. Visitez <a href="https://ausha.co/politique-de-confidentialite">ausha.co/politique-de-confidentialite</a> pour plus d'informations.

<description>&lt;p&gt;Il y a quelques années le monde du numérique bruissait d'un terme anglo-saxon qui faisait saliver fournisseurs, société de services informatique et responsables de collectivités territoriales. Ce terme, c'était celui de &lt;a href="https://www.zdnet.fr/smart-city-4000237520q.htm"&gt;smart city&lt;/a&gt;. La promesse de ces villes intelligentes étaient multiples, allant d'une meilleure sécurité urbaine à une meilleure efficacité de la dépense publique.&lt;br&gt;&lt;br&gt;Séduite, &lt;a href="https://www.zdnet.fr/actualites/smart-city-google-prend-ses-quartiers-a-toronto-39859016.htm"&gt;la ville de Toronto a confié en 2019 les clés du camion à Google&lt;/a&gt;. De quoi refroidir le secteur &lt;a href="https://www.zdnet.fr/blogs/green-si/le-projet-smartcity-de-google-a-toronto-repart-39893169.htm"&gt;un an plus tard&lt;/a&gt;. Pourquoi ? Parce que Google avait fait main basse sur les données de la ville. Depuis, les promoteurs de la smart city se font plus discrets.&lt;br&gt;&lt;br&gt;Sauf &lt;a href=""&gt;Jacques Priol&lt;/a&gt;. Cet expert de la donnée publique conseille les collectivités territoriales sur &lt;a href="https://www.zdnet.fr/actualites/ne-parlez-plus-de-smart-city-voici-le-territoire-connecte-et-durable-39961866.htm"&gt;leurs projets de territoires connectés&lt;/a&gt;. Des projets que l'on croise en France dans des villes comme Dijon ou Angers.&lt;br&gt;&lt;br&gt;Nous l'avons rencontré.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;br&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;a href="https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre"&gt;Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !&lt;/a&gt;&lt;/p&gt;&lt;br/&gt;&lt;p&gt;Hébergé par Ausha. Visitez &lt;a href="https://ausha.co/politique-de-confidentialite"&gt;ausha.co/politique-de-confidentialite&lt;/a&gt; pour plus d'informations.&lt;/p&gt;</description>


Il y a quelques années le monde du numérique bruissait d'un terme anglo-saxon qui faisait saliver fournisseurs, société de services informatique et responsables de collectivités territoriales. Ce terme, c'était celui de smart city (https://www.zdnet.f...

Comment l'IA rencontre ses premiers cas d'usages dans les territoires connectés

C'est un projet ambitieux de l’Union européenne.Il s'agit de se libérer des géants américains et chinois du paiement, comme Visa, Mastercard, PayPal ou encore AliPay du côté de l'Empire du Milieu.Se passer des réseaux de paiement non européensPremier point, à l'heure de la guerre commerciale et tarifaire, il semble que les autorités européennes jugent que la dépendance aux entreprises étrangères spécialisées dans l'intermédiation du paiement est problématique.Et voici un exemple très concret pour comprendre ce qui chiffonne l'Europe.À chaque fois que vous utilisez votre carte Visa ou que vous réglez un achat via PayPal, vous passez par des réseaux qui ne sont ni européens ni souverains.Ces services sont américains, ou chinois dans le cas d’AliPay.C'est cette situation qui commence sérieusement à inquiéter Bruxelles, surtout dans un contexte de tensions géopolitiques et commerciales.La BCE prend les devantsEt c'est plus précisément la BCE, la Banque Centrale Européenne, qui prend les devants.Christine Lagarde, la présidente de la Banque centrale, a exprimé clairement sa volonté de bâtir une alternative européenne.L’objectif est de proposer un système de paiement local, sécurisé et indépendant, capable de concurrencer les géants actuels. Ce serait, selon ses mots, "un pas de plus vers l’indépendance économique de l’Europe".Vers un portefeuille numérique unifié en EuropeMais, et c'est le troisième point, se passer de Visa ou Mastercard n'est qu'un aspect de cette volonté d'indépendance européenne.Concrètement, l’Union européenne planche aussi sur un portefeuille numérique unifié.Celui-ci pourrait centraliser, sur nos smartphones, des documents comme la carte d’identité, le permis de conduire, mais aussi des moyens de paiement.Cette dynamique est déjà à l'œuvre en France où il est désormais possible de dématérialiser sur son smartphone sa carte d'identité, <a href="https://www.zdnet.fr/actualites/enthousiasme-francais-pour-la-carte-vitale-dematerialisee-408956.htm">sa Carte Vitale</a>, et prochainement son permis de conduire.Mais portée à l'échelle européenne, cette brique technologique pourrait accélérer l’intégration économique au niveau du Vieux Continent. Et rendre plus indépendant encore les européens des entreprises américaines et chinoises, qui proposent déjà des outils de stockage de documents dématérialisés.D’après les estimations du service de recherche du Parlement européen, une telle initiative pourrait générer jusqu’à 2800 milliards d’euros de PIB d’ici 2032.<a href="https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre">Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !</a> Hébergé par Ausha. Visitez <a href="https://ausha.co/politique-de-confidentialite">ausha.co/politique-de-confidentialite</a> pour plus d'informations.

<description>&lt;p&gt;C'est un projet ambitieux de l’Union européenne.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Il s'agit de se libérer des géants américains et chinois du paiement, comme Visa, Mastercard, PayPal ou encore AliPay du côté de l'Empire du Milieu.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;b&gt;Se passer des réseaux de paiement non européens&lt;/b&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Premier point, à l'heure de la guerre commerciale et tarifaire, il semble que les autorités européennes jugent que la dépendance aux entreprises étrangères spécialisées dans l'intermédiation du paiement est problématique.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Et voici un exemple très concret pour comprendre ce qui chiffonne l'Europe.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;À chaque fois que vous utilisez votre carte Visa ou que vous réglez un achat via PayPal, vous passez par des réseaux qui ne sont ni européens ni souverains.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Ces services sont américains, ou chinois dans le cas d’AliPay.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;C'est cette situation qui commence sérieusement à inquiéter Bruxelles, surtout dans un contexte de tensions géopolitiques et commerciales.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;b&gt;La BCE prend les devants&lt;/b&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Et c'est plus précisément la BCE, la Banque Centrale Européenne, qui prend les devants.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Christine Lagarde, la présidente de la Banque centrale, a exprimé clairement sa volonté de bâtir une alternative européenne.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;L’objectif est de proposer un système de paiement local, sécurisé et indépendant, capable de concurrencer les géants actuels. Ce serait, selon ses mots, "un pas de plus vers l’indépendance économique de l’Europe".&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;b&gt;Vers un portefeuille numérique unifié en Europe&lt;/b&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Mais, et c'est le troisième point, se passer de Visa ou Mastercard n'est qu'un aspect de cette volonté d'indépendance européenne.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Concrètement, l’Union européenne planche aussi sur un portefeuille numérique unifié.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Celui-ci pourrait centraliser, sur nos smartphones, des documents comme la carte d’identité, le permis de conduire, mais aussi des moyens de paiement.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Cette dynamique est déjà à l'œuvre en France où il est désormais possible de dématérialiser sur son smartphone sa carte d'identité, &lt;a href="https://www.zdnet.fr/actualites/enthousiasme-francais-pour-la-carte-vitale-dematerialisee-408956.htm"&gt;sa Carte Vitale&lt;/a&gt;, et prochainement son permis de conduire.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Mais portée à l'échelle européenne, cette brique technologique pourrait accélérer l’intégration économique au niveau du Vieux Continent. Et rendre plus indépendant encore les européens des entreprises américaines et chinoises, qui proposent déjà des outils de stockage de documents dématérialisés.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;D’après les estimations du service de recherche du Parlement européen, une telle initiative pourrait générer jusqu’à 2800 milliards d’euros de PIB d’ici 2032.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;a href="https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre"&gt;Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !&lt;/a&gt;&lt;/p&gt;&lt;br/&gt;&lt;p&gt;Hébergé par Ausha. Visitez &lt;a href="https://ausha.co/politique-de-confidentialite"&gt;ausha.co/politique-de-confidentialite&lt;/a&gt; pour plus d'informations.&lt;/p&gt;</description>


C'est un projet ambitieux de l’Union européenne.
Il s'agit de se libérer des géants américains et chinois du paiement, comme Visa, Mastercard, PayPal ou encore AliPay du côté de l'Empire du Milieu.
Se passer des réseaux de paiement non européens
Premi...

Visa, Mastercard, PayPal ou encore AliPay remis en question en Europe

Voici une nouvelle norme de connectique qui pourrait rebattre les cartes des ports cachés derrière vos écrans et sur le côté de vos ordinateurs portables. Oui, ce nouveau câble pourrait bien faire de l’ombre aux protocoles HDMI et DisplayPort, voire même au Thunderbolt.Son nom ? Le GPMI, pour General Purpose Media Interface. Et c’est la Chine qui le propose. Mais au delà de ce nouveau nom, c'est sa fiche technique qui impressionne.Le couteau suisse de la connectiqueLe GPMI, c’est un peu le couteau suisse de la connectique. Il propose une bande passante allant jusqu’à 192 Gigabits par seconde, soit quatre fois celle du HDMI 2.1. Et sa puissance peut grimper jusqu’à 480 watts.Conséquence, il pourrait remplacer à lui seul le HDMI, le USB-C, <a href="https://www.zdnet.fr/actualites/display-port-20-du-8k-non-compressee-a-60hz-39886879.htm">le DisplayPort</a> et le <a href="https://www.zdnet.fr/thunderbolt-4000143163q.htm">Thunderbolt</a>.Concrètement, il peut faire transiter de la vidéo 8K, alimenter un ordinateur portable haut de gamme, et transférer des données. Et tout cela avec un seul et même câble.Deux formats pour deux usagesMais le GPMI est tout de même décliné en deux formats pour correspondre à deux usages.<ul><li>La première version, appelée GPMI Type-C, utilise le même connecteur que l’USB-C. Il a une bande passante de 96 Gigabits par seconde et une puissance jusqu’à 240 watts.</li><li>La seconde version, le GPMI Type-B, mise lui sur un connecteur propriétaire. Il sera probablement destiné aux usages professionnels ou industriels. Mais avec ses 192 Gigabits par seconde et ses 480 watts de puissance, c’est une véritable autoroute pour les données et l’énergie qui alimente les machines.</li></ul>Des ambitions géopolitiquesEnfin, et c'est peut être le plus important dans cette annonce, ce nouveau standard chinois affiche clairement des ambitions géopolitiques. Car derrière ce câble se cache aussi une stratégie.En développant leur propre norme, plus de 50 entreprises chinoises, réunies au sein de l’<a href="https://mp.weixin.qq.com/s/LUs7gdZm6Bm5QagGW8W9Kw">alliance SUCA</a>, cherchent à se libérer de la domination des standards occidentaux. C’est aussi un moyen de soutenir leur industrie <a href="https://www.zdnet.fr/8k-4000237498q.htm">de la vidéo 8K</a>.Mais attention, si le GPMI est prometteur, il reste aujourd’hui cantonné à la Chine. Et avec des normes européennes de plus en plus strictes, son adoption à l’international est loin d’être assurée.<a href="https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre">Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !</a> Hébergé par Ausha. Visitez <a href="https://ausha.co/politique-de-confidentialite">ausha.co/politique-de-confidentialite</a> pour plus d'informations.

<description>&lt;p&gt;Voici une nouvelle norme de connectique qui pourrait rebattre les cartes des ports cachés derrière vos écrans et sur le côté de vos ordinateurs portables. Oui, ce nouveau câble pourrait bien faire de l’ombre aux protocoles HDMI et DisplayPort, voire même au Thunderbolt.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Son nom ? Le GPMI, pour General Purpose Media Interface. Et c’est la Chine qui le propose. Mais au delà de ce nouveau nom, c'est sa fiche technique qui impressionne.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;b&gt;Le couteau suisse de la connectique&lt;/b&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Le GPMI, c’est un peu le couteau suisse de la connectique. Il propose une bande passante allant jusqu’à 192 Gigabits par seconde, soit quatre fois celle du HDMI 2.1. Et sa puissance peut grimper jusqu’à 480 watts.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Conséquence, il pourrait remplacer à lui seul le HDMI, le USB-C, &lt;a href="https://www.zdnet.fr/actualites/display-port-20-du-8k-non-compressee-a-60hz-39886879.htm"&gt;le DisplayPort&lt;/a&gt; et le &lt;a href="https://www.zdnet.fr/thunderbolt-4000143163q.htm"&gt;Thunderbolt&lt;/a&gt;.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Concrètement, il peut faire transiter de la vidéo 8K, alimenter un ordinateur portable haut de gamme, et transférer des données. Et tout cela avec un seul et même câble.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;b&gt;Deux formats pour deux usages&lt;/b&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Mais le GPMI est tout de même décliné en deux formats pour correspondre à deux usages.&lt;/p&gt;&lt;ul&gt;&lt;li&gt;&lt;p&gt;La première version, appelée GPMI Type-C, utilise le même connecteur que l’USB-C. Il a une bande passante de 96 Gigabits par seconde et une puissance jusqu’à 240 watts.&lt;/p&gt;&lt;/li&gt;&lt;li&gt;&lt;p&gt;La seconde version, le GPMI Type-B, mise lui sur un connecteur propriétaire. Il sera probablement destiné aux usages professionnels ou industriels. Mais avec ses 192 Gigabits par seconde et ses 480 watts de puissance, c’est une véritable autoroute pour les données et l’énergie qui alimente les machines.&lt;/p&gt;&lt;/li&gt;&lt;/ul&gt;&lt;p&gt;&lt;b&gt;Des ambitions géopolitiques&lt;/b&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Enfin, et c'est peut être le plus important dans cette annonce, ce nouveau standard chinois affiche clairement des ambitions géopolitiques. Car derrière ce câble se cache aussi une stratégie.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;En développant leur propre norme, plus de 50 entreprises chinoises, réunies au sein de l’&lt;a href="https://mp.weixin.qq.com/s/LUs7gdZm6Bm5QagGW8W9Kw"&gt;alliance SUCA&lt;/a&gt;, cherchent à se libérer de la domination des standards occidentaux. C’est aussi un moyen de soutenir leur industrie &lt;a href="https://www.zdnet.fr/8k-4000237498q.htm"&gt;de la vidéo 8K&lt;/a&gt;.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Mais attention, si le GPMI est prometteur, il reste aujourd’hui cantonné à la Chine. Et avec des normes européennes de plus en plus strictes, son adoption à l’international est loin d’être assurée.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;a href="https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre"&gt;Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !&lt;/a&gt;&lt;/p&gt;&lt;br/&gt;&lt;p&gt;Hébergé par Ausha. Visitez &lt;a href="https://ausha.co/politique-de-confidentialite"&gt;ausha.co/politique-de-confidentialite&lt;/a&gt; pour plus d'informations.&lt;/p&gt;</description>


Voici une nouvelle norme de connectique qui pourrait rebattre les cartes des ports cachés derrière vos écrans et sur le côté de vos ordinateurs portables. Oui, ce nouveau câble pourrait bien faire de l’ombre aux protocoles HDMI et DisplayPort, voire m...

GPMI, la nouvelle norme chinoise à l'assaut du HDMI

Aujourd'hui, penchons-nous sur l'impact potentiel des nouvelles taxes douanières américaines sur le prix de votre prochain <a href="https://www.zdnet.fr/iphone-4000072452q.htm">iPhone</a>.La récente annonce de l'administration Trump concernant <a href="https://www.zdnet.fr/actualites/lunion-europeenne-et-la-france-prets-a-taxer-les-services-numeriques-americains-411257.htm">l'imposition de droits de douane supplémentaires</a> inquiète en effet les clients grand public mais aussi les professionnels du secteur technologique.Explosion des taxes douanièresLes États-Unis ont instauré des tarifs de 54 % sur les importations en provenance de Chine.Et c'est en Chine que 90 % des produits Apple sont assemblés.Des droits de douane supplémentaires de 26 % et 46 % ont également été imposés respectivement à l'Inde et au Vietnam. Et ces deux autres pays sont très importants dans la chaîne de production d'Apple.Une hausse significative des coûts de production pour AppleCes augmentations tarifaires pourraient entraîner une hausse significative des coûts de production pour Apple.Si l'entreprise décide de répercuter ces coûts sur les clients, <a href="https://www.zdnet.fr/actualites/produits-et-services-numeriques-la-guerre-des-tarifs-douaniers-bouleverse-le-quotidien-des-acheteurs-411575.htm">le prix de l'iPhone 16 Pro Max pourrait atteindre jusqu'à 2 300 dollars</a>, selon certaines estimations.La tentation du VietnamPour atténuer l'impact de ces tarifs, Apple envisage plusieurs stratégies. Notamment le transfert d'une partie de sa production vers l'Inde et le Vietnam.Pourquoi ? Parce que ces pays sont plus susceptibles d'obtenir des exemptions tarifaires.L'analyste spécialisés dans l'économie d'Apple Ming-Chi Kuo estime que si la production en Inde atteint 30 % de l'approvisionnement mondial d'Apple, l'impact négatif sur les marges brutes d'Apple pourrait être réduit à environ 1 à 3 %.Guerre de tranchée commerciale entre américains et européensReste une très grande inconnue pour les clients français et européens d'Apple. Des clients qui sont d'ors et déjà fort maltraités par Apple. Jugez plutôt : l'iPhone 15 est vendu aux Etats-Unis, conversion effectuée, à 637 euros. En France il vous est vendu au tarif de 869 euros, soit 232 euros en plus.Et la guerre de tranchée commerciale qui débute entre américains et européens pourrait encore renchérir ce prix.De quoi faire véritablement exploser le prix des smartphones en France. A moins d'un retournement spectaculaire de situation. Un de plus.<a href="https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre">Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !</a> Hébergé par Ausha. Visitez <a href="https://ausha.co/politique-de-confidentialite">ausha.co/politique-de-confidentialite</a> pour plus d'informations.

<description>&lt;p&gt;Aujourd'hui, penchons-nous sur l'impact potentiel des nouvelles taxes douanières américaines sur le prix de votre prochain &lt;a href="https://www.zdnet.fr/iphone-4000072452q.htm"&gt;iPhone&lt;/a&gt;.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;La récente annonce de l'administration Trump concernant &lt;a href="https://www.zdnet.fr/actualites/lunion-europeenne-et-la-france-prets-a-taxer-les-services-numeriques-americains-411257.htm"&gt;l'imposition de droits de douane supplémentaires&lt;/a&gt; inquiète en effet les clients grand public mais aussi les professionnels du secteur technologique.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;b&gt;Explosion des taxes douanières&lt;/b&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Les États-Unis ont instauré des tarifs de 54 % sur les importations en provenance de Chine.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Et c'est en Chine que 90 % des produits Apple sont assemblés.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Des droits de douane supplémentaires de 26 % et 46 % ont également été imposés respectivement à l'Inde et au Vietnam. Et ces deux autres pays sont très importants dans la chaîne de production d'Apple.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;b&gt;Une hausse significative des coûts de production pour Apple&lt;/b&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Ces augmentations tarifaires pourraient entraîner une hausse significative des coûts de production pour Apple.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Si l'entreprise décide de répercuter ces coûts sur les clients, &lt;a href="https://www.zdnet.fr/actualites/produits-et-services-numeriques-la-guerre-des-tarifs-douaniers-bouleverse-le-quotidien-des-acheteurs-411575.htm"&gt;le prix de l'iPhone 16 Pro Max pourrait atteindre jusqu'à 2 300 dollars&lt;/a&gt;, selon certaines estimations.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;b&gt;La tentation du Vietnam&lt;/b&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Pour atténuer l'impact de ces tarifs, Apple envisage plusieurs stratégies. Notamment le transfert d'une partie de sa production vers l'Inde et le Vietnam.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Pourquoi ? Parce que ces pays sont plus susceptibles d'obtenir des exemptions tarifaires.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;L'analyste spécialisés dans l'économie d'Apple Ming-Chi Kuo estime que si la production en Inde atteint 30 % de l'approvisionnement mondial d'Apple, l'impact négatif sur les marges brutes d'Apple pourrait être réduit à environ 1 à 3 %.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;b&gt;Guerre de tranchée commerciale entre américains et européens&lt;/b&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Reste une très grande inconnue pour les clients français et européens d'Apple. Des clients qui sont d'ors et déjà fort maltraités par Apple. Jugez plutôt : l'iPhone 15 est vendu aux Etats-Unis, conversion effectuée, à 637 euros. En France il vous est vendu au tarif de 869 euros, soit 232 euros en plus.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Et la guerre de tranchée commerciale qui débute entre américains et européens pourrait encore renchérir ce prix.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;De quoi faire véritablement exploser le prix des smartphones en France. A moins d'un retournement spectaculaire de situation. Un de plus.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;a href="https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre"&gt;Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !&lt;/a&gt;&lt;/p&gt;&lt;br/&gt;&lt;p&gt;Hébergé par Ausha. Visitez &lt;a href="https://ausha.co/politique-de-confidentialite"&gt;ausha.co/politique-de-confidentialite&lt;/a&gt; pour plus d'informations.&lt;/p&gt;</description>


Aujourd'hui, penchons-nous sur l'impact potentiel des nouvelles taxes douanières américaines sur le prix de votre prochain iPhone (https://www.zdnet.fr/iphone-4000072452q.htm).
La récente annonce de l'administration Trump concernant l'imposition de dr...

Les taxes douanières vont-elles faire exploser le prix de votre prochain iPhone ? Sûrement

C'est un petit événement qui marque l’histoire économique et technologique de l’Europe.L'entreprise allemande SAP devient l'entreprise la plus valorisée en bourse du vieux continent.L’éditeur de logiciels de gestion vient de détrôner le géant pharmaceutique danois Novo Nordisk.Une capitalisation recordIl y a deux semaine, la valeur des actions de SAP en bourse ont grimpé à la hauteur de 313 milliards d’euros.Et cette valorisation place aussi SAP devant des poids lourds de l'économie européenne, comme LVMH, qui est troisième avec un peu plus de 300 milliards d’euros.Comment expliquer ce succès ?SAP a pris un virage stratégique vers le cloud et l’IA. Et cela est payant aujourd'hui.Oui, SAP a amorcé depuis plusieurs années une transformation de son modèle économique. Exit les licences perpétuelles, bonjour l’<a href="https://www.zdnet.fr/pratique/tout-comprendre-au-cloud-computing-le-guide-complet-39938153.htm">abonnement cloud</a>. Cette transition, couplée à une stratégie ambitieuse dans l’<a href="https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-l-ia-tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-l-intelligence-artificielle-39921409.htm">intelligence artificielle</a>, a séduit les investisseurs.Résultat ? Une hausse de 40 % de l’action SAP en 2024. Pour les analystes, SAP est même aujourd’hui considéré comme le seul représentant européen de poids dans le monde particulièrement explosif de l’IA.La défaite cinglante de la concurrenceSi SAP grimpe, c’est aussi parce que d’autres chutent. Novo Nordisk, par exemple, accuse une baisse de 17 % depuis le début de l’année. Des essais médicaux décevants et le ralentissement des ventes de son antidiabétique vedette, l’Ozempic, ont refroidi les marchés.Et la chute est sévère aussi dans le secteur de la tech. L'an passé, la valorisation du fabricant néerlandais de machines pour l’industrie des semi-conducteurs ASML était de 320 milliards d’euros. Elle n'est plus aujourd'hui de 265 milliards d'euros.Et pendant ce temps, SAP profite de l’intérêt croissant pour les valeurs technologiques allemandes, dopant l’indice DAX à des niveaux records.A noter que le champion français de la tech, l’éditeur Dassault Systèmes, capitalise en bourse près de 52 milliards d'euros. C'est donc 6 fois moins que SAP.<a href="https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre">Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !</a> Hébergé par Ausha. Visitez <a href="https://ausha.co/politique-de-confidentialite">ausha.co/politique-de-confidentialite</a> pour plus d'informations.

<description>&lt;p&gt;C'est un petit événement qui marque l’histoire économique et technologique de l’Europe.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;L'entreprise allemande SAP devient l'entreprise la plus valorisée en bourse du vieux continent.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;L’éditeur de logiciels de gestion vient de détrôner le géant pharmaceutique danois Novo Nordisk.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;b&gt;Une capitalisation record&lt;/b&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Il y a deux semaine, la valeur des actions de SAP en bourse ont grimpé à la hauteur de 313 milliards d’euros.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Et cette valorisation place aussi SAP devant des poids lourds de l'économie européenne, comme LVMH, qui est troisième avec un peu plus de 300 milliards d’euros.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;b&gt;Comment expliquer ce succès ?&lt;/b&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;SAP a pris un virage stratégique vers le cloud et l’IA. Et cela est payant aujourd'hui.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Oui, SAP a amorcé depuis plusieurs années une transformation de son modèle économique. Exit les licences perpétuelles, bonjour l’&lt;a href="https://www.zdnet.fr/pratique/tout-comprendre-au-cloud-computing-le-guide-complet-39938153.htm"&gt;abonnement cloud&lt;/a&gt;. Cette transition, couplée à une stratégie ambitieuse dans l’&lt;a href="https://www.zdnet.fr/pratique/qu-est-ce-que-l-ia-tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-l-intelligence-artificielle-39921409.htm"&gt;intelligence artificielle&lt;/a&gt;, a séduit les investisseurs.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Résultat ? Une hausse de 40 % de l’action SAP en 2024. Pour les analystes, SAP est même aujourd’hui considéré comme le seul représentant européen de poids dans le monde particulièrement explosif de l’IA.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;b&gt;La défaite cinglante de la concurrence&lt;/b&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Si SAP grimpe, c’est aussi parce que d’autres chutent. Novo Nordisk, par exemple, accuse une baisse de 17 % depuis le début de l’année. Des essais médicaux décevants et le ralentissement des ventes de son antidiabétique vedette, l’Ozempic, ont refroidi les marchés.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Et la chute est sévère aussi dans le secteur de la tech. L'an passé, la valorisation du fabricant néerlandais de machines pour l’industrie des semi-conducteurs ASML était de 320 milliards d’euros. Elle n'est plus aujourd'hui de 265 milliards d'euros.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Et pendant ce temps, SAP profite de l’intérêt croissant pour les valeurs technologiques allemandes, dopant l’indice DAX à des niveaux records.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;A noter que le champion français de la tech, l’éditeur Dassault Systèmes, capitalise en bourse près de 52 milliards d'euros. C'est donc 6 fois moins que SAP.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;a href="https://smartlink.ausha.co/zd-tech-tout-comprendre"&gt;Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !&lt;/a&gt;&lt;/p&gt;&lt;br/&gt;&lt;p&gt;Hébergé par Ausha. Visitez &lt;a href="https://ausha.co/politique-de-confidentialite"&gt;ausha.co/politique-de-confidentialite&lt;/a&gt; pour plus d'informations.&lt;/p&gt;</description>


C'est un petit événement qui marque l’histoire économique et technologique de l’Europe.
L'entreprise allemande SAP devient l'entreprise la plus valorisée en bourse du vieux continent.
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Comment SAP est devenu l'entreprise la plus valorisée du vieux continent

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