<a target="_blank" href="https://www.buzzsprout.com/twilio/text_messages/2083879/open_sms">Send us a text</a>In the heart of Adelaide, we are at the South Australian Botanic Gardens with Michael Harvey, its director.  We walk through the garden paths and behind the scenes of an institution that thinks differently about the city by putting science at the service of conservation, exhibiting art to inspire wonder, and deploying climate education to move from anxiety to action.  Here, the seasons renew the experience, night-time installations transform the night, and augmented reality reveals invisible works without touching the ground.  We talk about urbanity, accessibility, and the intimate connection between a park and its cultural neighborhood, with the museum, the zoo, and soon an Aboriginal art and culture centre. Rather than pitting places against each other, Michael advocates for fruitful cooperation where each success fuels the desire for culture. We also explore the very real challenges of living things: caring for a growing collection, irrigating sparingly in an area that experiences heat peaks of over about 45°C, choosing resilient species, and telling the story of the soil, insects, and fungi to make the entire ecosystem understandable. The Mediterranean garden becomes a showcase for water-efficient and climate-smart gardening that can be replicated in every courtyard and on every balcony.Behind the scenes, solar panels on the roofs, new watering practices and energy transparency provide a credible path for reducing the carbon footprint and inspiring action across the city. If you like places that challenge preconceived ideas, you will find a generous vision here: a botanical garden as a refuge, school, laboratory and artistic stage.  Michael Harvey is Director of the Botanic Gardens and State Herbarium of South Australia.https://www.botanicgardens.sa.gov.au/ En plein cœur d’Adélaïde nous sommes au jardin botanique d&apos;Australie méridionale avec Michael Harvey, son directeur. Nous parcourons les allées du jardin et les coulisses d’une institution qui pense la ville autrement en mettant la science au service de la conservation, en exposant l&apos;art pour susciter l’émerveillement, et déployant une pédagogie climatique pour passer de l’anxiété à l’action. Ici, les saisons renouvellent l’expérience, les installations nocturnes transforment la nuit, et la réalité augmentée révèle des œuvres invisibles sans toucher au sol. On parle urbanité, accessibilité, et de ce lien intime entre un parc et son voisinage culturel avec le musée, le zoo, et bientôt un centre d’art et de culture aborigènes. Plutôt que d’opposer les lieux, Michael défend une coopération féconde où chaque succès nourrit l’envie de culture. Nous explorons aussi les défis très concrets du vivant : prendre soin d&apos;une collection qui pousse, irriguer avec parcimonie dans une zone qui connaît des pics de chaleur à plus de 45°C, choisir des espèces résilientes, raconter les sols, les insectes et les champignons pour rendre lisible l’écosystème entier.Le jardin méditerranéen devient un démonstrateur de jardinage économe en eau et climatiquement intelligent, transposable dans chaque cour et balcon.Côté coulisses, panneaux solaires sur les toits, nouvelles pratiques d’arrosage et transparence énergétique donnent un cap crédible pour réduire l’empreinte et inspirer des gestes à l’échelle de la ville. Si vous aimez les lieux qui bousculent les idées reçues, vous trouverez ici une vision généreuse : un jardin botanique comme refuge, école, laboratoire et scène artistique.

<description>&lt;p&gt;&lt;a target="_blank" href="https://www.buzzsprout.com/twilio/text_messages/2083879/open_sms"&gt;Send us a text&lt;/a&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;In the heart of Adelaide, we are at the South Australian Botanic Gardens with Michael Harvey, its director. &lt;br/&gt;&lt;br/&gt;We walk through the garden paths and behind the scenes of an institution that thinks differently about the city by putting science at the service of conservation, exhibiting art to inspire wonder, and deploying climate education to move from anxiety to action. &lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Here, the seasons renew the experience, night-time installations transform the night, and augmented reality reveals invisible works without touching the ground. &lt;br/&gt;&lt;br/&gt;We talk about urbanity, accessibility, and the intimate connection between a park and its cultural neighborhood, with the museum, the zoo, and soon an Aboriginal art and culture centre. Rather than pitting places against each other, Michael advocates for fruitful cooperation where each success fuels the desire for culture.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;We also explore the very real challenges of living things: caring for a growing collection, irrigating sparingly in an area that experiences heat peaks of over about 45°C, choosing resilient species, and telling the story of the soil, insects, and fungi to make the entire ecosystem understandable.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;The Mediterranean garden becomes a showcase for water-efficient and climate-smart gardening that can be replicated in every courtyard and on every balcony.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Behind the scenes, solar panels on the roofs, new watering practices and energy transparency provide a credible path for reducing the carbon footprint and inspiring action across the city.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;If you like places that challenge preconceived ideas, you will find a generous vision here: a botanical garden as a refuge, school, laboratory and artistic stage. &lt;br/&gt;&lt;br/&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Michael Harvey is Director of the Botanic Gardens and State Herbarium of South Australia.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;https://www.botanicgardens.sa.gov.au/&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;br/&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;br/&gt;En plein cœur d’Adélaïde nous sommes au jardin botanique d&amp;apos;Australie méridionale avec Michael Harvey, son directeur. &lt;/p&gt;&lt;p&gt;Nous parcourons les allées du jardin et les coulisses d’une institution qui pense la ville autrement en mettant la science au service de la conservation, en exposant l&amp;apos;art pour susciter l’émerveillement, et déployant une pédagogie climatique pour passer de l’anxiété à l’action. &lt;/p&gt;&lt;p&gt;Ici, les saisons renouvellent l’expérience, les installations nocturnes transforment la nuit, et la réalité augmentée révèle des œuvres invisibles sans toucher au sol. &lt;/p&gt;&lt;p&gt;On parle urbanité, accessibilité, et de ce lien intime entre un parc et son voisinage culturel avec le musée, le zoo, et bientôt un centre d’art et de culture aborigènes. Plutôt que d’opposer les lieux, Michael défend une coopération féconde où chaque succès nourrit l’envie de culture.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Nous explorons aussi les défis très concrets du vivant : prendre soin d&amp;apos;une collection qui pousse, irriguer avec parcimonie dans une zone qui connaît des pics de chaleur à plus de 45°C, choisir des espèces résilientes, raconter les sols, les insectes et les champignons pour rendre lisible l’écosystème entier.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Le jardin méditerranéen devient un démonstrateur de jardinage économe en eau et climatiquement intelligent, transposable dans chaque cour et balcon.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Côté coulisses, panneaux solaires sur les toits, nouvelles pratiques d’arrosage et transparence énergétique donnent un cap crédible pour réduire l’empreinte et inspirer des gestes à l’échelle de la ville.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Si vous aimez les lieux qui bousculent les idées reçues, vous trouverez ici une vision généreuse : un jardin botanique comme refuge, école, laboratoire et scène artistique. &lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;br/&gt;&lt;/p&gt;</description>

Send us a text In the heart of Adelaide, we are at the South Australian Botanic Gardens with Michael Harvey, its director.   We walk through the garden paths and behind the scenes of an institution that thinks differently about the city by putting science at the service of conservation, exhibiting art to inspire wonder, and deploying climate education to move from anxiety to action.   Here, the seasons renew the experience, night-time installations transform the night, and augmented...

 At the Botanic Garden of South Australia, Adelaide, with Michael Harvey

<a target="_blank" href="https://www.buzzsprout.com/twilio/text_messages/2083879/open_sms">Send us a text</a>Olivier Cogne, est historien et archiviste de formation. Il dirige depuis 2016 le Musée dauphinois qui est situé sur les hauteurs de Grenoble et géré par le Département de l&apos;Isère.Olivier nous invite à découvrir l&apos;histoire du lieu et la philosophie de ce musée qui s&apos;est toujours voulu enraciné dans son territoire alpin et ouvert sur les autres.Du musée on voit les Alpes mais aussi au-delà, le monde.A titre d&apos;exemple l&apos;exposition Pays Bassari qui illustre la manière dont le musée dauphinois invite les producteurs de culture à raconter leur propre histoire.L&apos;exposition Pays Bassari est le fruit d&apos;une collaboration entre le Département de l&apos;Isère, le Département de Kédougou, l&apos;Association des minorités ethniques, le Musée des civilisations noires, le Musée Théodore Monod à Dakar et le musée du quai Branly.Le catalogue de l&apos;exposition Pays Bassari. Grenoble, Musée dauphinois, 2025.Pour en savoir plus sur le musée et les autres musées du Département de l&apos;Isère <a href='https://musees.isere.fr/musee/musee-dauphinois'>https://musees.isere.fr/musee/musee-dauphinois</a><a href='https://urldefense.com/v3/__https://www.facebook.com/museedauphinois/?locale=fr_FR__;!!F-KsAQ!cT45qMhXdhbMkrnVTDKMRrSdKfaFgRG15nVTyTgqzIw4hYb0rDn6Fz8QYp1vaZOKDS_qgQ7XO1VB0nVSr1JK$'>https://www.facebook.com/museedauphinois</a><a href='https://www.instagram.com/museedauphinois'>https://www.instagram.com/museedauphinois</a><a href='https://fr.linkedin.com/company/musee-dauphinois'>https://fr.linkedin.com/company/musee-dauphinois</a> Enfin, je vous invite à découvrir le premier roman d&apos;Olivier Cogne, La famille Finkiel. Paris Héliopoles, 2024.

<description>&lt;p&gt;&lt;a target="_blank" href="https://www.buzzsprout.com/twilio/text_messages/2083879/open_sms"&gt;Send us a text&lt;/a&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Olivier Cogne, est historien et archiviste de formation. Il dirige depuis 2016 le Musée dauphinois qui est situé sur les hauteurs de Grenoble et géré par le Département de l&amp;apos;Isère.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Olivier nous invite à découvrir l&amp;apos;histoire du lieu et la philosophie de ce musée qui s&amp;apos;est toujours voulu enraciné dans son territoire alpin et ouvert sur les autres.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Du musée on voit les Alpes mais aussi au-delà, le monde.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;A titre d&amp;apos;exemple l&amp;apos;exposition &lt;em&gt;Pays Bassari &lt;/em&gt;qui illustre la manière dont le musée dauphinois invite les producteurs de culture à raconter leur propre histoire.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;L&amp;apos;exposition Pays Bassari est le fruit d&amp;apos;une collaboration entre le Département de l&amp;apos;Isère, le Département de Kédougou, l&amp;apos;Association des minorités ethniques, le Musée des civilisations noires, le Musée Théodore Monod à Dakar et le musée du quai Branly.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Le catalogue de l&amp;apos;exposition &lt;em&gt;Pays Bassari&lt;/em&gt;. Grenoble, Musée dauphinois, 2025.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Pour en savoir plus sur le musée et les autres musées du Département de l&amp;apos;Isère &lt;a href='https://musees.isere.fr/musee/musee-dauphinois'&gt;&lt;b&gt;https://musees.isere.fr/musee/musee-dauphinois&lt;/b&gt;&lt;/a&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;a href='https://urldefense.com/v3/__https://www.facebook.com/museedauphinois/?locale=fr_FR__;!!F-KsAQ!cT45qMhXdhbMkrnVTDKMRrSdKfaFgRG15nVTyTgqzIw4hYb0rDn6Fz8QYp1vaZOKDS_qgQ7XO1VB0nVSr1JK$'&gt;&lt;b&gt;https://www.facebook.com/museedauphinois&lt;/b&gt;&lt;/a&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;a href='https://www.instagram.com/museedauphinois'&gt;&lt;b&gt;https://www.instagram.com/museedauphinois&lt;/b&gt;&lt;/a&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;&lt;a href='https://fr.linkedin.com/company/musee-dauphinois'&gt;&lt;b&gt;https://fr.linkedin.com/company/musee-dauphinois&lt;/b&gt;&lt;/a&gt;&lt;b&gt;&lt;br/&gt;&lt;/b&gt;&lt;br/&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Enfin, je vous invite à découvrir le premier roman d&amp;apos;Olivier Cogne, &lt;em&gt;La famille Finkiel&lt;/em&gt;. Paris Héliopoles, 2024.&lt;/p&gt;</description>

Send us a text Olivier Cogne, est historien et archiviste de formation. Il dirige depuis 2016 le Musée dauphinois qui est situé sur les hauteurs de Grenoble et géré par le Département de l'Isère. Olivier nous invite à découvrir l'histoire du lieu et la philosophie de ce musée qui s'est toujours voulu enraciné dans son territoire alpin et ouvert sur les autres. Du musée on voit les Alpes mais aussi au-delà, le monde. A titre d'exemple l'exposition Pays Bassari qui illustre la manière dont le m...

Au Musée dauphinois avec Olivier Cogne

<a target="_blank" href="https://www.buzzsprout.com/twilio/text_messages/2083879/open_sms">Send us a text</a>Julien Vandanjon nous explique son engagement dans l&apos;étude, la production et la transmission du patrimoine à l&apos;ère du numérique à travers le studio Objet témoin de la galerie Non peut-être qui se trouve à Auderghem près de Bruxelles en Belgique.Cette ASBL (Association Sans But Lucratif) est une galerie qui accueille photographes et artistes graphiques et produit des contenus grâce au studio hébergé dans le même lieu.Le projet de lier nouvelles technologies et patrimoine, d&apos;associer création contemporaine et réflexion politique, sans être subventionné (subsidié comme on dit en Belgique), m&apos;a paru passionnant et m&apos;a donné envie de partager cette belle énergie.Les différents relais du travail de Julien Vandanjon:La chaîne YouTube : https://www.youtube.com/@studiononpeutetreLe studio Objet témoin: https://museo.vandanjon.com/index.php/fr/La galerie Non peut-être : https://www.nonpeutetre.art/https://www.facebook.com/p/Galerie-Non-Peut-%C3%AAtre-100095185017430/https://www.instagram.com/objettemoin/La référence du livre de Jean GABUS, Objet témoin. Les références d&apos;une civilisation par l&apos;objet. Neufchâtel, Ides &amp; Calendes, 1975.

<description>&lt;p&gt;&lt;a target="_blank" href="https://www.buzzsprout.com/twilio/text_messages/2083879/open_sms"&gt;Send us a text&lt;/a&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Julien Vandanjon nous explique son engagement dans l&amp;apos;étude, la production et la transmission du patrimoine à l&amp;apos;ère du numérique à travers le studio Objet témoin de la galerie Non peut-être qui se trouve à Auderghem près de Bruxelles en Belgique.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Cette ASBL (Association Sans But Lucratif) est une galerie qui accueille photographes et artistes graphiques et produit des contenus grâce au studio hébergé dans le même lieu.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Le projet de lier nouvelles technologies et patrimoine, d&amp;apos;associer création contemporaine et réflexion politique, sans être subventionné (subsidié comme on dit en Belgique), m&amp;apos;a paru passionnant et m&amp;apos;a donné envie de partager cette belle énergie.&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Les différents relais du travail de Julien Vandanjon:&lt;/p&gt;&lt;p&gt;La chaîne YouTube : https://www.youtube.com/@studiononpeutetre&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Le studio &lt;b&gt;Objet témoin&lt;/b&gt;: https://museo.vandanjon.com/index.php/fr/&lt;/p&gt;&lt;p&gt;La galerie &lt;b&gt;Non peut-être&lt;/b&gt; : https://www.nonpeutetre.art/&lt;/p&gt;&lt;p&gt;https://www.facebook.com/p/Galerie-Non-Peut-%C3%AAtre-100095185017430/&lt;/p&gt;&lt;p&gt;https://www.instagram.com/objettemoin/&lt;/p&gt;&lt;p&gt;La référence du livre de Jean GABUS, &lt;em&gt;Objet témoin. Les références d&amp;apos;une civilisation par l&amp;apos;objet&lt;/em&gt;. Neufchâtel, Ides &amp;amp; Calendes, 1975.&lt;/p&gt;</description>

Send us a text Julien Vandanjon nous explique son engagement dans l'étude, la production et la transmission du patrimoine à l'ère du numérique à travers le studio Objet témoin de la galerie Non peut-être qui se trouve à Auderghem près de Bruxelles en Belgique. Cette ASBL (Association Sans But Lucratif) est une galerie qui accueille photographes et artistes graphiques et produit des contenus grâce au studio hébergé dans le même lieu. Le projet de lier nouvelles technologies et patrimoine, d'as...

A la galerie Non Peut-Etre avec Julien Vandanjon

<a target="_blank" href="https://www.buzzsprout.com/twilio/text_messages/2083879/open_sms">Send us a text</a>Un des éléments fondamentaux de la culture congolaise est la sape, indissociable de la rumba congolaise. Difficile d&apos;en parler sans montrer d&apos;images mais le Directeur du Patrimoine et des Archives du Congo, Ghislain Amédée Moussoungou nous régale des profondeurs culturelles de la société des sapeurs qui regroupent des hommes, femmes et enfants qui pousse l&apos;art du raffinement vestimentaire et de l&apos;exubérance à son paroxysme pour le plus grand plaisir des yeux. Mais derrière une démonstration qui peut paraître superficielle se cache un esprit de liberté et d&apos;indépendance hors du commun. La SAPE c&apos;est la Société des Ambianceurs et Personnes Elégantes. Cette interview a été réalisée grâce et avec Myriam Boyer que je remercie chaleureusement pour avoir rendu cette rencontre possible. Myriam est conseillère en charge de la politique des musées au Ministère de l&apos;Industrie Culturelle, Touristique, Artistique et des Loisirs (MICTAL) de la république du Congo pour le compte d&apos;Expertise France. Episode enregistré le 8 mai 2024 à Brazzaville Extrait de &quot;Sapé comme jamais&quot; de Maître Gim&apos;s accompagné du chanteur congolais Niska, tiré de l&apos;album Mon coeur avait raison, 2015. Pour aller plus loin: Joseph Itoua &amp; Ghislain Amédée Moussoungou, La Sape au Congo-Brazzaville. Editions Les Lettres Mouchetées, 2017.

<description>&lt;p&gt;&lt;a target="_blank" href="https://www.buzzsprout.com/twilio/text_messages/2083879/open_sms"&gt;Send us a text&lt;/a&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Un des éléments fondamentaux de la culture congolaise est la sape, indissociable de la rumba congolaise.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Difficile d&amp;apos;en parler sans montrer d&amp;apos;images mais le Directeur du Patrimoine et des Archives du Congo, Ghislain Amédée Moussoungou nous régale des profondeurs culturelles de la société des sapeurs qui regroupent des hommes, femmes et enfants qui pousse l&amp;apos;art du raffinement vestimentaire et de l&amp;apos;exubérance à son paroxysme pour le plus grand plaisir des yeux.&lt;br/&gt;Mais derrière une démonstration qui peut paraître superficielle se cache un esprit de liberté et d&amp;apos;indépendance hors du commun.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;La SAPE c&amp;apos;est la Société des Ambianceurs et Personnes Elégantes.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Cette interview a été réalisée grâce et avec Myriam Boyer que je remercie chaleureusement pour avoir rendu cette rencontre possible.&lt;br/&gt;Myriam est conseillère en charge de la politique des musées au Ministère de l&amp;apos;Industrie Culturelle, Touristique, Artistique et des Loisirs (MICTAL) de la république du Congo pour le compte d&amp;apos;Expertise France.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Episode enregistré le 8 mai 2024 à Brazzaville&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Extrait de &amp;quot;Sapé comme jamais&amp;quot; de Maître Gim&amp;apos;s accompagné du chanteur congolais Niska, tiré de l&amp;apos;album &lt;em&gt;Mon coeur avait raison&lt;/em&gt;, 2015.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Pour aller plus loin:&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Joseph Itoua &amp;amp; Ghislain Amédée Moussoungou, &lt;em&gt;La Sape au Congo-Brazzaville&lt;/em&gt;. Editions Les Lettres Mouchetées, 2017.&lt;/p&gt;</description>

Send us a text Un des éléments fondamentaux de la culture congolaise est la sape, indissociable de la rumba congolaise.  Difficile d'en parler sans montrer d'images mais le Directeur du Patrimoine et des Archives du Congo, Ghislain Amédée Moussoungou nous régale des profondeurs culturelles de la société des sapeurs qui regroupent des hommes, femmes et enfants qui pousse l'art du raffinement vestimentaire et de l'exubérance à son paroxysme pour le plus grand plaisir des yeux. Mais derrière une...

La sape, un patrimoine congolais, avec Ghislain Amédée Moussoungou

<a target="_blank" href="https://www.buzzsprout.com/twilio/text_messages/2083879/open_sms">Send us a text</a>Le Musée des Civilisations Noires a ouvert ses portes à Dakar en décembre 2018. J&apos;ai eu la chance de suivre le projet, d&apos;y participer et d&apos;échanger à de nombreuses reprises à son propos avec Hamady Bocoum qui en a été le premier directeur. Nous avons porté avec Hamady plusieurs projets d&apos;exposition croisés. J&apos;ai toujours eu un grand plaisir à échanger avec Hamady sur le patrimoine, le rôle du musée et sa vision des cultures africaines. Je regrettais de ne pas pouvoir partager sa pensée incisive. C&apos;est chose faite avec cet épisode. Le Professeur Hamady Bocoum est archéologue sénégalais qui a dirigé le Musée jusqu&apos;en août 2024. Il nous raconte ici sa vision de l&apos;histoire de ce musée et son ancrage dans une histoire panafricaine. Hamady complète sa réflexion sur le concept de décolonisation, sa vision du rôle politique que les intellectuels ont à jouer dans des sociétés en proie aux populismes, et enfin plus que la culpabilité et la responsabilité coloniale, sa comptabilité. Hamady Bocoum est un spécialiste de la métallurgie du fer en Afrique, chercheur à l&apos;IFAN (Institut Fondamentale d&apos;Afrique Noire)  qu&apos;il a dirigé. Directeur du patrimoine culturel du Sénégal avant d&apos;être nommé à la tête du Musée des Civilisations Noires, Hamady est également expert à l&apos;UNESCO. Merci à El Hadji Malick Ndiaye, directeur du Musée Théodore Monod de l&apos;IFAN, Dakar qui nous a aimablement accueilli dans les jardins du musée. Quelques références bibliographiques: Bocoum H., Crémière C., Féau E. (dir.), Vers le musée africain du XXIe siècle. Paris, MKF éditions, 2018. Bocoum H., Crémière C., Féau E. (dir.), Le Havre-Dakar. Partager la mémoire. Catalogue de l’exposition. Le Havre, éditions du Muséum du Havre, 2017. Crémière C., « Le Musée des Civilisations Noires de Dakar », La Lettre de l’OCIM, n°198, novembre-décembre 2021, pp. 28-33.

<description>&lt;p&gt;&lt;a target="_blank" href="https://www.buzzsprout.com/twilio/text_messages/2083879/open_sms"&gt;Send us a text&lt;/a&gt;&lt;/p&gt;&lt;p&gt;Le Musée des Civilisations Noires a ouvert ses portes à Dakar en décembre 2018. J&amp;apos;ai eu la chance de suivre le projet, d&amp;apos;y participer et d&amp;apos;échanger à de nombreuses reprises à son propos avec Hamady Bocoum qui en a été le premier directeur. &lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Nous avons porté avec Hamady plusieurs projets d&amp;apos;exposition croisés. J&amp;apos;ai toujours eu un grand plaisir à échanger avec Hamady sur le patrimoine, le rôle du musée et sa vision des cultures africaines. Je regrettais de ne pas pouvoir partager sa pensée incisive. C&amp;apos;est chose faite avec cet épisode.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Le Professeur Hamady Bocoum est archéologue sénégalais qui a dirigé le Musée jusqu&amp;apos;en août 2024. Il nous raconte ici sa vision de l&amp;apos;histoire de ce musée et son ancrage dans une histoire panafricaine.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Hamady complète sa réflexion sur le concept de décolonisation, sa vision du rôle politique que les intellectuels ont à jouer dans des sociétés en proie aux populismes, et enfin plus que la culpabilité et la responsabilité coloniale, sa comptabilité.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Hamady Bocoum est un spécialiste de la métallurgie du fer en Afrique, chercheur à l&amp;apos;IFAN (Institut Fondamentale d&amp;apos;Afrique Noire)  qu&amp;apos;il a dirigé. &lt;br/&gt;Directeur du patrimoine culturel du Sénégal avant d&amp;apos;être nommé à la tête du Musée des Civilisations Noires, Hamady est également expert à l&amp;apos;UNESCO.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Merci à El Hadji Malick Ndiaye, directeur du Musée Théodore Monod de l&amp;apos;IFAN, Dakar qui nous a aimablement accueilli dans les jardins du musée.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Quelques références bibliographiques:&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Bocoum H., Crémière C., Féau E. (dir.), &lt;em&gt;Vers le musée africain du XXIe siècle&lt;/em&gt;. Paris, MKF éditions, 2018.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Bocoum H., Crémière C., Féau E. (dir.), &lt;em&gt;Le Havre-Dakar. Partager la mémoire&lt;/em&gt;. Catalogue de l’exposition. Le Havre, éditions du Muséum du Havre, 2017.&lt;br/&gt;&lt;br/&gt;Crémière C., « Le Musée des Civilisations Noires de Dakar », &lt;em&gt;La Lettre de l’OCIM&lt;/em&gt;, n°198, novembre-décembre 2021, pp. 28-33.&lt;/p&gt;</description>

Send us a text Le Musée des Civilisations Noires a ouvert ses portes à Dakar en décembre 2018. J'ai eu la chance de suivre le projet, d'y participer et d'échanger à de nombreuses reprises à son propos avec Hamady Bocoum qui en a été le premier directeur.   Nous avons porté avec Hamady plusieurs projets d'exposition croisés. J'ai toujours eu un grand plaisir à échanger avec Hamady sur le patrimoine, le rôle du musée et sa vision des cultures africaines. Je regrettais de ne pas pouvoir partager...

Au Musée des Civilisations Noires, avec Hamady Bocoum

Je partage mes visites d'expositions, les rencontres avec des personnes passionnées, les faces cachées des musées, et des sujets qui touchent au patrimoine, à l'histoire, aux sciences, à l'art et à la culture en général.&nbsp; Bref être sérieux sans se prendre au sérieux pour faire rimer connaissance avec plaisir et simplicité.

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